Le 11 novembre 2020
C'est la première fois depuis de nombreuses années que les français seront privés d'une cérémonie de commémoration pour la victoire et pour la paix.
Ce fut un moment rare et bien triste, sous la brume, sans la présence des lucanois ! Et sans le verre qui accompagne ces commémorations.
C'est en effet en tout petit comité que s'est déroulée cette cérémonie. Le message du Ministère des Armées a été lu, puis celui de l'Union Française des Anciens Combatants et victimes de guerre. La gerbe a été déposée, juste avant l'appel aux morts, suivi d'une minute de recueillement.
Aux soldats morts pour la France pendant la grande guerre, se sont joints les noms des soldats morts pour la France lors des opérations extérieures : 20 en 2020.
Tout comme en 1914, ils ont fait sacrifice de leur vie pour défendre et protéger notre pays, notre démocratie et nos valeurs.
Sans relâche, agissons ensemble pour la concorde et la paix.
Le 11 novembre 2019
Tout comme en 2018 ( photo ci-contre),les parapluies étaient de rigueur pour cette cérémonie de commémoration de la signature de l'armistice de la Grande Guerre.
L'appel des noms des soldats morts pour la France durant cette guerre a été suivi par l'appel des soldats français, morts au combat durant cette année 2019 dans la région sahélienne au Mali.
Les discours du ministère des armées et l'association des anciens combattants ont rappelé l'importance du souvenir, de la défense des valeurs de la République et ont rendu hommage à nos soldats, pour leur courage et leurs valeurs d'engagement, aujourd'hui encore.
Dernier hommage à Léon
Léon n'est plus depuis la fin du mois d'octobre 2019. Vous ne le verrez plus déambuler sur la place des Tilleuls et n'entendrez plus ses cris perçants à chaque bruit de moteur intensif, ni ses appels vains vers une femelle espérée.
Son père vivait déjà dans le village, au sein du joli et grand parc d'une maison face à l'église. Il était seul mais un jour, on lui offrit une compagne. Tous deux donnèrent naissance à plusieurs petits. Sept paons et paonnes finirent par déambuler dans la rue du Clocher, visitant de-ci et de-là quelques jardins accueillants. C'est ainsi qu'en 2004, Léon naquit sur le toit d'un garage d'une résidence secondaire offrant de la verdure et des recoins entre des bâtiments, propices à la ponte des oeufs, à la couvaison et enfin à la naissance des petits, bien à l'abri des regards,
Les paons étaient bruyants, et les habitants immédiats s'en plaignaient. Les paonnes finirent par dissimuler leurs oeufs pour éviter leur destruction, et face à l'impossibilité de contrôler les naissances, paons et paonnes furent confier au parc du Château de Sauvage, sauf notre Léon, toujours l'oeil menaçant et la posture intimidante, qu'on n'osa capturer. Il resta donc à Saint Lucien.
Après une grave blessure au cou, dont il se remit, qui lui mit pour un temps le bec de guingois au point qu'il fallut trouver une astuce pour le nourrir, il s'installa définitivement dans les environs de la rue du Clocher, proche de la place des Tilleuls. Il trouva plusieurs fois de belles branches de tilleul ou de pin pour s'y percher la nuit. Mais ces arbres furent taillés, voire abattus, et il se percha définitivement, au soleil couchant, sur le faîtage des toits de cet environnement hospitalier. Il y trouva tout à la fois sécurité et tranquillité, en compagnie des chats, des tourterelles et des moineaux des jardins auxquels il dédiait volontiers le panache en roue des superbes plumes de sa queue. Malgré quelques réactions agressives subites, il devint sociable, apprécia la compagnie des humains. Il entrait dans les maisons dès que la porte restait ouverte ou se couchait au soleil sur leur seuil.
Quelques signes de vieillissement se faisaient pourtant sentir. Il fut souffrant deux fois l'hiver 2018-2019. Les plumeaux de sa crête étaient moins fournis et moins toniques. La montée en roue s'avérait plus laborieuse, sa queue plus clairsemée.
Bref, début septembre, il eut quelques troubles de la vue, un oeil en particulier, puis de coordination de mouvements de la tête et du bec, jusqu'à ce qu'il s'éteigne au petit matin pluvieux de fin octobre prostré sous un abri aménagé pour lui.
Il aura vécu 15 années à Saint Lucien, et sa présence aura surpris et émerveillé bien des visiteurs de la commune.
Cérémonie des voeux 2019
La traditionelle céémonie des voeux réunit toujours de nombreux habitants de Saint Lucien et plus particulièrement les nouveaux habitants, nombreux en cette fin d'année 2018.
Le maire y dresse le bilan de l'année écoulée et annonce les projets 2019.
En ce début d'année 2019, deux projets, attendus depuis plusieurs années par les lucanois allaient voir enfin le jour : une connexion Internet très haut débit, par la fibre, et l'implantation d'une antenne radio pour le réseau mobile.
C'est aussi en ce début d'année que le site Internet de la commune allait se mettre au goût du jour pour devenir plus attrayant.
Cette cérémonie se conclut par un apéritif, et des "bulles", symbôle de fête de la nouvelle année.
Inauguration: Réaménagement de la mare de Chenicourt
Ainsi que le souhaitait la Région Centre val de Loire qui a financé l'opération, les travaux de réhabilitation de la mare ont été inaugurés le 7 juillet 2017.
Ce jour là, malgré la chaleur intense, étaient courageusement réunis : Notre conseillère régionale, Estelle COCHARD, notre nouveau député, M. Kasbarian, notre conseiller départemental, M. Jean Noël Marie, Madame Françoise Ramond, présidente de la Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Ile de France, M. Pierre Bilien, vice-président en charge de l'aménagement du territoire de la Com Com et maire de St Martin de Nigelles, les conseillers municipaux de Saint Lucien et quelques habitants de Chenicourt.
M. Allard, conservateur des espaces naturels de la Région Centre Val de Loire, également invité, a expliqué quelle avait été la démarche du Conservatoire et de ce projet, porté par Catherine DEBRAY, ce qui a suscité beaucoup de curiosité et d'intérêt de a part des élus présents. D'où de nombreuses questions sur les mares d'Eure et loir et leur conservation. Salle communale, leur fut servi un apéritif de circonstance.
article de presse
les inondations 2016
Le 31 mai, au petit matin, après des pluies incessantes et abondantes, les rues de Saint Lucien étaient inondées, la Maltorne en crue, le lavoir et le bassin de rétention en débordement, la rue des Pressoirs fermée à la circulation. La mare de Chenicourt a nécessité un pompage par l'entreprise Her'vert pour mettre en sécurité les riverains.
Pendant plusieurs jours, la Maltorne était encore saturée d'où un écoulement difficile du lavoir et des fossés adjascents.